Grille horaire

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Stingray Classica
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01:00
Delibes - Lakmé
PG02:32:002022HD
Frédéric Chaslin dirige l’orchestre et le chœur de l’Opéra royal de Wallonie-Liège dans une performance de l’opéra tragique Lakmé (1883) de Léo Delibes. Cet opéra, basé sur un livret d’Edmond Gondinet et de Philippe Gille, est campé dans l’Inde britannique du 19e siècle. Lakmé, fille d’un prêtre brahmane, tombe amoureuse de Gérald, un officier britannique. Mais lorsque Nilakantha, le père de Lakmé, découvre que Gérald a pénétré dans son enceinte sacrée, il jure de se venger. Comme plusieurs de ses contemporains, Delibes était friand de l’exotisme des contrées lointaines et des cultures étrangères, dans la tradition des Pêcheurs de perles (1863) de Georges Bizet ou de Samson et Dalila (1877) de Camille Saint-Saëns. L’opéra de Delibes comprend le célèbre « Duo des fleurs », interprété par Lakmé et sa servante Mallika tandis qu’elles cueillent des fleurs sur les berges de la rivière, ainsi que le merveilleux « Air des clochettes » pour soprano colorature. Les solistes sont Jodie Devos, Philippe Talbot, Lionel Lhote, Pierre Doyen et Marion Lebègue. Cette production a été enregistrée à l’Opéra royal de Wallonie-Liège, en Belgique, en 2022.
03:32
Orchestre philharmonique Israël : 60e anniversaire
G01:54:001996HD
En 1996, l’Orchestre philharmonique d’Israël a célébré son 60e anniversaire avec un gala dirigé par les maestros Zubin Mehta et Daniel Barenboim. Cet événement musical met en vedette des solistes de renommée mondiale, notamment le violoniste chevronné Isaac Stern, les musiciens de la relève Maxim Vengerov et Gil Shaham, ainsi que Pinchas Zukerman, Shlomo Mintz et Itzhak Perlman. La soirée débute par un discours émouvant sur les débuts de l’orchestre livré par Stern. Le programme de la soirée se poursuit avec le Concerto pour deux violons en ré mineur, BWV1043 de Bach, la Symphonie no 2 de Brahms, la Passacaille pour violon, violoncelle et alto d’Halvorsen, la Sérénade no 6, K. 239 de Mozart, le Concerto en si mineur pour quatre violons et orchestre de Vivaldi et l’ouverture d’Oberon de Weber.
05:27
À la découverte de chefs-d’œuvre – Bartòk Concerto
G00:27:002003HD
Les vingt volets de la série « À la découverte de chefs-d’œuvre » constituent des introductions audiovisuelles aux chefs-d’œuvre de la musique classique. Les introductions permettent au téléspectateur d’apprécier les plus belles compositions, depuis le baroque jusqu’à l’époque moderne, sous un jour totalement nouveau. Des extraits de partitions et des explications d'experts aident le téléspectateur à suivre les motifs et rythmes et à comprendre la structure de l’œuvre. Ce volet présente le Concerto pour orchestre de Béla Bartók, l’une des œuvres les plus fréquemment jouées du XXe siècle. Le chef d'orchestre et compositeur français Pierre Boulez explique comment il a lui-même interprété cette pièce avec l’Orchestre philharmonique de Berlin. Il dévoile également sa fascination pour la vie de Bartók.
05:55
Planet Earth
G01:04:002018HD
La Symphonie no 3, dite Planet Earth, de Johan de Meij comprend une ode à la Terre mère (« Gaia » en grec) empruntée à un hymne grec écrit par Homère il y a de cela 3 000 ans. Chantés par un chœur dans la langue d’origine, ces vers nous implorent d’honorer la planète qui prend soin de nous. Une Gaia symbolique (la danseuse Mikayla Scaife) devient la protagoniste et la narratrice du film. Par le mouvement, elle raconte l’histoire de notre passé et de notre présent, et nous offre un aperçu de notre futur possible. Ce film est réalisé et monté par Jed Parker. Selon le compositeur Anthony Fiumara : « La Symphonie Planet Earth de De Meij est la trame sonore de notre époque. Le film donne à cette magnifique pièce orchestrale une nouvelle dimension et illustre la beauté de notre planète. Ce film sonne l’alarme, mais se conclut sur une note d’espoir. L’interaction entre la musique et les images fait de Planet Earth une expérience aussi intense qu’inoubliable. »
07:00
Mozart - Symphonie no 38, K. 504
G00:29:001990HD
Gerd Albrecht dirige le Deutsche Kammerphilharmonie dans une performance de la Symphonie no 38 (K. 504), dite « Prague », de Mozart, une œuvre composée à la fin de l’année 1786 et présentée pour la première fois en janvier 1787, dans le cadre de la première visite du compositeur à Prague. L’une des caractéristiques les plus étonnantes de cette symphonie est qu’elle est composée de seulement trois mouvements, ce qui en fait la seule œuvre symphonique majeure de la période classique sans menuet ni scherzo. La symphonie s’ouvre par un adagio, suivi d’un allegro incroyablement puissant dont les qualités dramatiques présagent l’opéra Don Giovanni de Mozart. Mise en scène : János Darvas.
07:29
Rodrigo - Concierto de Aranjuez
G00:25:002011HD
Juan Manuel Cañizares is the soloist in a performance of Joaquín Rodrigo's (1901-1999) Concierto de Aranjuez. He is accompanied by the Berliner Philharmoniker led by maestro Sir Simon Rattle.
07:54
La Fulgurance romantique: Beethoven et Bizet
G01:24:002021HD
Étoile montante du monde de la musique classique, la jeune cheffe d’orchestre vénézuélienne Glass Marcano a d’abord été violoniste au sein de l’orchestre des jeunes de San Felipe, de l’orchestre symphonique de Yaracuy et de l’orchestre des jeunes de Yaracuyana, avec lequel en 2012, elle vécu sa première expérience en direction. Elle décide d’étudier la direction d’orchestre un an plus tard et en septembre 2020, elle remporte le prix de l’orchestre à La Maestra, le premier concours international de cheffes d’orchestre réservé aux femmes, tenu à Paris. Lors de ce concert de 2021, Marcano dirige l’Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours dans l’interprétation de deux chefs-d’œuvre du répertoire romantique. Le programme commence avec l’une des œuvres les plus importantes du genre, le Concerto pour violon en ré major, op. 61 de Ludwig van Beethoven, mettant en vedette Stéphanie-Marie Degand comme soliste. La prestation se termine par la Symphonie en ut majeur de Georges Bizet, composée en 1855 alors qu’il n’avait que 17 ans. Cette prestation a été enregistrée à l’Opéra de Tours, en février 2021.
09:19
IVC 2019 - Finale: Schubert, Wolf et al.
G00:30:002019HD
La soprano Erika Baikoff (États-Unis, 1994) et le pianiste Gary Beecher (Irlande, 1993) interprètent « Suleika I, Was bedeutet die Bewegung » (op. 14, no 1 – D. 720) et Die Blumensprache (op. 173, no 5 – D. 519) et Die Gebüsche (D. 646) de Franz Schubert; « Lied vom Winde » et « Der Knabe und das Immlein », tirés des Mörike-Lieder de Hugo Wolf; « Fleur jetée » des Quatre mélodies (op. 39) de Gabriel Fauré; « C », extrait des Deux poèmes de Louis Aragon (FP 122) par Francis Poulenc; « Les lilas qui avaient fleuri », tiré de Clairières dans le ciel par Lili Boulanger; « Oranje may-lied » de Johanna Bordewijk-Roepman; et « Eti letniye nochi » (Ces nuits d’été) des Douze romances (op. 14) de Sergei Rachmaninoff, lors de la finale du Concours vocal international 2019 – Duo de lied. Cette performance a été captée au Theater aan de Parade à Bois-le-Duc (‘s-Hertogenbosch), aux Pays-Bas.
09:49
A la découverte des chefs-d'œuvre : Bach
G00:29:002010HD
L'épisode de cette série présente la Concertos Brandebourgeois de Johann Sébastian Bach (1685-1750). Les exemples musicaux sont interprétés par le Freiburger Barockorchester dirigé par Gottfried von der Goltz. La période que Bach passe à Coethen (1717-1723) est l'une des plus productives de sa vie : partitas, sonates, pièces pour orchestre, suites pour violon seul, violoncelle seul, concertos pour violon et pour clavier naissent aux côtés des Concertos Brandebourgeois. Ils sont ancrés aujourd'hui dans le répertoire international et jouent aussi un rôle important dans l'éducation musicale. Le pianiste et expert de Bach Robert Levin nous donne des clés d'écoute.
10:18
Liszt - Concerto pour piano no 1, S. 124
G00:44:002014HD
Saisissante, virtuose et spectaculaire : ces adjectifs décrivent parfaitement la musique pour piano de Franz Liszt. Profitez d’une performance scintillante de son Concerto pour piano no 1 en mi bémol majeur, livrée par l’incroyable virtuose russe Daniil Trifonov, accompagné de l’Orchestre philharmonique d’Israël sous la baguette de Kent Nagano. Comme rappel, Trifonov interprète Reflets dans l’eau, tirée des cycles Images de Debussy. L’orchestre clôt ce concert livré en 2014 à l’auditorium Charles Bronfman de Tel-Aviv avec la Symphonie no 7 de Mahler.
11:03
Mahler - Symphonie no 1
G00:59:002008HD
La source d’inspiration de la Symphonie No. 1 de Gustav Mahler a été le roman « Titan » de Jean Paul, dans lequel un jeune artiste talentueux n’arrive pas à trouver sa place dans la société et se livre au désespoir et au suicide. Cette œuvre ne s’est pas faite sans coup férir : Mahler l’a composée entre 1887 et 1888 alors qu’il avait la vingtaine et qu’il travaillait comme chef d’orchestre à l’Opéra de Leipzig. La première version de l’œuvre a été vue comme un poème symphonique en deux parties aux titres imagés. La première de cette œuvre originale a eu lieu en 1898 à Budapest mais elle a été mal accueillie. Mahler a décidé de la réviser : il a barré les titres et il a supprimé la deuxième partie (« Blumine »). Le résultat est une très belle symphonie pleine de références musicales. Ainsi, dans la première partie nous pouvons reconnaître un morceau antérieur de Mahler, la deuxième chanson de « Chants d’un compagnon errant », la deuxième partie est une danse paysanne autrichienne et dans la troisième partie il fait allusion à la mélodie « Frère Jacques ». Somme toute, la Symphonie No. 1 est un accomplissement incroyable pour un compositeur si jeune.
12:03
Duos au piano - Mozart, Rachmaninov et autres
G01:29:002021HD
Dans ce concert splendide, Nikolay Lugansky et Vadim Rudenko s’associent pour livrer en duo des œuvres signées Wolfgang Amadeus Mozart, Maurice Ravel, Anton Arensky, Sergueï Rachmaninov, and Nikolaï Kapoustine. Ces pianistes russes d’exception ont tous deux remporté le prestigieux Concours international Tchaïkovski en 1994, prix qui a lancé leur carrière internationale. Lugansky et Rudenko se produisent régulièrement en duo. Ici, ils interprètent la Sonate pour deux pianos en ré majeur, K. 448/375 A, de Mozart; la Valse (arr. pour deux pianos) de Ravel; la Suite n° 1 pour deux pianos, op. 15, d’Arensky; et la Suite n° 1 (Fantaisie) pour deux pianos, op. 5, de Rachmaninov. En rappel, le duo propose la romance tirée de la Suite n° 2 pour deux pianos, op. 17, de Rachmaninov, suivie de l’ouverture de Sinfonietta, op. 49, de Nikolaï Kapoustine. Cette performance a été enregistrée sur les planches de la salle de concert Tchaïkovski de Moscou, en Russie, le 25 novembre 2021.
13:32
Modène - Ville de Belcanto
G00:25:00HD
This documentary by Mark Perna shows the training and professional growth actions for opera singers, the promotion and enhancement of the cultural offer of the city and province of Modena and the maintenance and development of the Modenese musical tradition in the field of opera.
13:57
Rachmaninov - Sonate pour violoncelle, op. 19
G00:24:002024HD
La violoncelliste italienne Silvia Chiesa et le pianiste italien Maurizio Baglini présentent la Sonate en sol mineur pour violoncelle et piano, op. 19, de Sergueï Rachmaninov. Cette performance a été enregistrée à la Sala Verdi du Conservatorio Giuseppe Verdi de Milan, en Italie, le 4 novembre 2024.
14:21
Prokofiev – Pierre et le loup
G00:42:002018HD
Dans cette version de Pierre et le loup (1936), une composition de Sergei Prokofiev (1891-1953), chaque personnage est illustré par un instrument différent (ou une section), avec son propre thème musical. Par exemple, Pierre est représenté par les cordes, son grand-père grincheux par le basson, son chat par la clarinette et les oiseaux par la flûte. Au fil de la narration et des interactions entre les personnages, les thèmes musicaux s’entremêlent joliment. Cette performance de 2018 est narrée et dirigée par Marin Alsop. L’accompagnement musical est assuré par le Britten-Pears Orchestra.
15:04
Europakonzert 2012 - Vienne
G01:29:002012HD
Chaque année, le Berliner Philharmoniker commémore sa fondation en 1883 avec la tenue de l’Europa Konzert dans une salle d’une grande importance culturelle, chaque fois située dans une ville européenne différente. Cette année, le Berliner Philharmoniker et le chef d’orchestre de renommée internationale Gustavo Dudamel accueillent l’un des meilleurs jeunes violoncellistes au monde, Gautier Capuçon. Le programme comprend : Variations sur un thème de Haydn en si bémol majeur, op. 56a, de Johannes Brahms; Concerto pour violoncelle et orchestre no 1 en do majeur, Hob.VIIb.1, de Haydn; et la Symphonie no 5 en ut mineur, op. 67, de Beethoven. Capté à la Spanische Hofreitschule (École espagnole d’équitation) de Vienne, en Autriche.
16:34
Dvořák - Othello - Concert Overture, Op. 93
G00:15:002017HD
Andris Nelsons et sa femme, la grande soprano Kristine Opolais, et le Gewandhausorchester de Leipzig présentent un concert consacré à Antonin Dvořák, dans lequel les mélodies cachées par le compositeur dans toutes les couches de sa musique se déploient avec des nuances tendres, chaudes et douces. Les tempos de Nelsons demeurent calmes et décontractés, permettant à la beauté omniprésente de la musique de Dvořák d’inonder le Gewandhaus. Le programme du concert débute par l’ouverture pour orchestre Othello, op. 93. Opolais interprète ensuite le « Chant à la lune » tirée de Roussalka et « Chansons que ma mère m’a apprises » tirée des Mélodies gitanes, op. 55/4, suivies par la Polonaise, « O, marno, marno to je » de Roussalka et « Dobrá! Já mu je dám!... Jak je mi? » de l’opéra Dalibor de Smetana. Le concert se termine par une performance de la Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95 (« Du Nouveau Monde »). Enregistré au Gewandhaus de Leipzig en mai 2017.
16:49
Prisma
PG00:51:002015HD
Le Mexico City Ballet (MXCB) est une compagnie de ballet contemporain formée de danseurs internationaux de grand talent résidant à Mexico. Dans le cadre de ce gala enregistré au Teatro de la Ciudad de Mexico, MXCB présente E pur, si muove du chorégraphe Jaime Camarena, suivie de Prisma de la chorégraphe Yazmín Barragán, sur une œuvre pour piano solo composée et interprétée par José Víctor Gavilondo.
17:41
Arias, solos et duos de J. S. Bach
G00:58:002020HD
Le baryton Matthias Goerne s’est associé au violoniste Vilde Frang, au violoncelliste Nicolas Altstaedt, au flûtiste Stathis Karapanos et à la claveciniste Michaela Hasselt pour présenter un programme consacré à la musique de J. S. Bach. Ils ont interprété des arias pour baryton tirées de ses plus belles cantates, ainsi que des morceaux en solo ou en duo. Au programme, la Sonate no 3 en do majeur pour violon solo (BWV 1005); « Hier, in meines Vaters Stätte » (BWV 32); « Die Welt mit allen Königreichen » (BWV 59); la Suite no 5 en do mineur pour violoncelle solo (BWV 1011); « Wenn Trost und Hülf ermangeln muß » (BWV 117); « Ja, ja, ich halte Jesum fest » (BWV 157); l’Invention no 7 en mi mineur (BWV 778); l’Invention no 12 en la majeur (BWV 783); et « Welt ade, ich bin dein müde » (BWV 158). Cette performance a été captée à l’église St. Mary’s de Wittenberg, en Allemagne.
18:39
Barenboim : 50 ans sur scène
G02:00:002000HD
Le 19 août 2000, le Teatro Colón était rempli à ras bord de spectateurs désireux d'entendre Daniel Barenboim jouer du piano. Barenboim, qui est aujourd'hui plus connu en tant que chef d'orchestre, a commencé sa carrière il y a un demi-siècle. Il était enfant prodige et joua son premier récital de piano à l'âge de 7 ans. Ce concert célèbre la carrière sur scène du maestro. Ce n'est qu'après trois heures de concert et 13 rappels que le public a bien voulu le laisser quitter la scène : une soirée spéciale, peut-être la plus spéciale qui existe ! Le concert incluait la Sonate n°23 de Ludwig van Beethoven Appassionata, la Valse en mi mineur de Frédéric Chopin et la Sonate en do majeur de Wolfgang Amadeus de Mozart.
20:39
How to get out of the Cage - A year with John Cage
G00:56:002012HD
Réalisé par le cinéaste primé Frank Scheffer, le fascinant documentaire How to get out of the Cage (2012) dresse un portrait intimiste de John Cage (1912-1992), l’un des plus importants compositeurs du 20e siècle. Entre 1982 et 1992, Scheffer a collaboré avec Cage à plusieurs reprises, ce qui lui a permis de créer des archives de documents audiovisuels comprenant entrevues, concerts et images de divers endroits liés à la vie et à l’œuvre du compositeur. Dans toutes ses œuvres sur Cage, Scheffer fait appel à un manuel chinois ancien appelé Yi Jing (qui signifie Classique des changements), comme l’a souvent fait Cage lui-même dans ses compositions. Mais plutôt que de recourir à des opérations aléatoires, Scheffer a monté son film de la manière habituelle, qui est basée sur le choix.
21:36
Demi-finale II - Concours piano de Liszt 2017
G00:23:002017HD
Jan Hugo (1991, Afrique du Sud) interprète Die drei Zigeuner (S383), Die Zelle in Nonnenwerth (S382bis) et La lugubre gondola (S134bis) dans le cadre de la demi-finale (catégorie musique de chambre) de la 11e édition du Concours international de piano Franz-Liszt, présentée au complexe TivoliVredenburg d’Utrecht, en 2017. Fondé en 1986 aux Pays-Bas, le concours présente, développe et promeut activement la prochaine génération de pianistes internationaux. Il est devenu l’une des principales portes d’entrée vers la scène musicale classique professionnelle pour les jeunes musiciens, et figure parmi les concours de piano les plus prestigieux du monde.
22:00
LSO interprète Boulanger, Dalbavie et Tchaïkovski
G01:23:002022HD
La cheffe d’orchestre polonaise Marta Gardolińska dirige le London Symphony Orchestra (LSO) dans un programme regroupant D’un matin de printemps de Lili Boulanger, le Concerto pour flûte de Marc-André Dalbavie et la Symphonie no 4 en fa mineur, op. 36, de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Bien que l’optimisme lumineux de la pièce de Boulanger soit à des lieues de la passion brute et des mélodies ardentes de la symphonie semi-autobiographique de Tchaïkovski, Gardolińska parvient à donner vie à ces deux œuvres avec une intensité remarquable, tout comme Gareth Davies, flûtiste principal du LSO, fait ressortir l’éclat et l’audace du classique du 21e siècle de Dalbavie. Le programme se termine avec Prayer for Ukraine du compositeur Valentin Silvestrov. Ce concert a été enregistré à LSO St Luke’s, à Londres, au Royaume-Uni, le 18 mai 2022.
23:23
Stravinsky - Le Sacre du printemps
G00:34:001993HD
Maestro Bernard Haitink dirige le Berliner Philharmoniker dans une performance du Sacre du printemps d’Igor Stravinsky. Stravinksy a composé la musique de ce ballet en 1913 pour les Ballets russes de Sergei Diaghilev. La première de l’œuvre, présentée au Théâtre des Champs-Élysées de Paris, a fait sensation auprès du public, causant même une émeute en raison de la nature avant-gardiste de la musique et de la chorégraphie. Créée pour un orchestre imposant, la partition comprend des dissonances marquées et des rythmes complexes. Malgré le scandale causé par la première, l’œuvre s’est rapidement taillé une réputation enviable. Le sacre du printemps est maintenant considéré comme l’un des chefs-d’œuvre de la musique classique, et a influencé bon nombre de compositeurs du 20e siècle. Cette performance a été enregistrée dans la cadre de l’édition 1993 de l’Europakonzert au Royal Albert Hall de Londres, au Royaume-Uni.
23:57
Mozart - Concerto pour violon n° 5
G00:26:002014HD
Les Dissonances est un collectif artistique fondé par le violoniste David Grimal en 2004. L’ensemble sans chef d’orchestre est composé de musiciens issus des plus grandes scènes européennes, de solistes internationaux et de jeunes talents prometteurs. Grimal est ici accompagné par Les Dissonances pour interpréter comme soliste le Concerto pour violon no 5 en la majeur, K. 219, de Wolfgang Amadeus Mozart, également connu sous le nom de Concerto turc. À l’exception du premier, tous les concertos pour violon de Mozart ont été composés en 1775, à l’époque où il était premier violon de l’Orchestre de la Cour de Salzbourg. Le Concerto no 5 est surnommé Concerto turc en raison de son troisième et dernier mouvement, qui comprend une saisissante section d’inspiration turque, que Mozart a créée en modifiant la pulsation et en changeant le mode en mineur pour permettre aux violoncelles et aux basses de jouer col legno, c’est-à-dire d’attaquer la corde avec le bois plutôt qu’avec les crins de l’archet afin de créer un son percussif. Cette performance a été enregistrée à la Cité de la Musique de Paris, en France, en 2014.